LE SECRET QUI FONT PRRNDRE DU POIDS RAPIDEMENT

LE SECRET QUI FONT PRRNDRE DU POIDS RAPIDEMENT
Les personnes très minces ont la réputation de pouvoir "se gaver" de pâtisseries ou de hamburgers sans prendre un gramme. Il est vrai qu’en cas de maigreur constitutionnelle, un apport énergétique "normal" (2 000 kcal par jour pour les femmes ou 2 500 kcal pour les hommes) ne permet pas de maintenir un poids suffisant
et
Comment prendre du poids Pour un régime parfait, il est important de manger sainement. Toutefois, il ne faut pas se méprendre, certains aliments « bons pour la santé » sont parfois plus élevés en calories, matières grasses et riches en sucre. Alors ensemble, découvrons les aliments sains et qui pourtant, pourraient ruiner votre régime.

Ces aliments « sains » qui font prendre du poids

Les œufs
Ils contiennent des protéines idéales, dont la composition en acides aminés (les constituants des protéines) correspond exactement aux besoins de l’organisme humain pour produire ses propres protéines, en particulier les protéines musculaires. Les œufs peuvent ainsi aider les personnes trop maigres (dont la masse musculaire est amoindrie quelle que soit la raison) à reprendre des forces.

La bonne dose : Deux œufs équivalent à 100 g de viande ou de poisson. Vous pouvez manger jusqu’à un œuf par jour, au déjeuner, au dîner, voire au petit-déjeuner. En cas d’ hypercholestérolémie, les œufs ne doivent pas être supprimés, mais limités à deux à trois par semaine. De façon à bien les digérer, faites-les cuire à l’eau (coque, mollets, durs, pochés) ou dans très peu de matière grasse.

Les viandes et les volailles

Leurs protéines, bien équilibrées en acides aminés essentiels, facilitent la prise de masse musculaire lorsque l’apport énergétique est suffisant. Viandes et volailles comptent en outre parmi les meilleures sources de vitamines B6 et B12 et de zinc, des micronutriments impliqués dans la synthèse des protéines corporelles.

La bonne dose : Comptez 100 à 150 g par portion. L’Anses recommande de privilégier les volailles, moins grasses et de limiter les viandes (bœuf, veau, agneau, mouton, porc…) à 500 g par semaine. Les jambons apportent d’aussi bonnes protéines que les viandes, mais comme pour les autres charcuteries, leur consommation doit être limitée à 25 g par jour en raison de leur forte teneur en sel3.

Les poissons


Ils sont riches en protéines de bonne qualité, utiles pour le développement de la masse musculaire. Les poissons gras (hareng, maquereau, sardine, saumon) sont les meilleures sources de vitamine D, qui selon des travaux récents, est essentielle au bon état des muscles : favorisant la synthèse des protéines musculaires et potentialisant l’effet anabolisant de l’ insuline (une hormone sécrétée après les repas)4. Les poissons présentent également une bonne teneur en vitamine B6, impliquée dans le métabolisme des protéines.

La bonne dose : L’Anses recommande de consommer du poisson (100 à 150 g) deux fois par semaine, une fois un poisson gras et une fois un poisson maigre (cabillaud, colin, merlan, sole…), en variant les espèces et les provenances5.

Les fruits de mer

Ils apportent des protéines riches en acides aminés essentiels, proches de celles des poissons. Ils comptent parmi les meilleures sources de vitamine B12 et de zinc, dont le déficit affecte la synthèse musculaire. Les mollusques (bigorneaux, bulots, moules…), sont particulièrement concentrés en magnésium, également impliqué dans le renouvellement des protéines corporelles.

La bonne dose : Vous pouvez prévoir des fruits de mer une fois par semaine, éventuellement en remplacement d’un poisson blanc. Pour une portion de 100 g net, comptez 500 g de coquillages ou 200 à 250 g de crustacés non décortiqués de type crevettes. La consommation de fruits de mer crus est déconseillée aux femmes enceintes, aux personnes âgées ou malades, dont les défenses immunitaires sont affaiblies.

Le lait et les laits fermentés

Ces aliments sont recommandés dans l’heure suivant un exercice physique pour optimiser la prise de masse musculaire. Leurs protéines sont riches en acides aminés essentiels, notamment en leucine, capitale pour la synthèse des protéines musculaires. De plus, le lait associe des protéines rapides (celles du petit lait, également appelées "whey protéines"), dont les acides aminés sont disponibles dans un délai de 30 minutes après sa consommation et des protéines lentes (des caséines), qui permettent à l’organisme de continuer à renouveler ses protéines corporelles jusqu’à 5 heures après6,7.

La bonne dose :1/2 litre de lait ou de yaourt à boire (soit 20 à 25 g de protéines) à consommer sucré (avec 2 cuillères à soupe de chocolat en poudre ou de sucre) dans l’heure suivant un entraînement. Le sucre apporte l’énergie indispensable pour produire des protéines et permet de refaire le stock de glycogène (forme de réserve de sucres, servant de carburant lors d’un effort musculaire).

Les fromages


Ils apportent 20 à 30 % de protéines (largement autant que les viandes), utiles à la prise de masse musculaire. Il s’agit de protéines "lentes", utilisables par l’organisme dans les deux à cinq heures suivant leur ingestion. Ils comptent parmi les aliments les plus riches en calcium, en zinc et en vitamine B9, des micronutriments indispensables à la synthèse protéique.

La bonne dose : Une portion de fromage (30 à 50 g) par jour, à compter parmi les trois produits laitiers quotidiens recommandés. L’intérêt pour la régénération des fibres musculaires est optimal s’il est consommé au repas principal suivant un exercice physique. Les fromages à pâte dure (emmental, comté, gouda…) sont les plus concentrés en protéines et en calcium, mais également les plus riches en graisses.

Les légumes secs

Lentilles, pois chiches, pois cassés, haricots rouges ou blancs, fèves… Ils allient protéines végétales, dont la composition en acides aminés essentiels est presque aussi intéressante que celle des viandes (et peut être optimisée par l’association avec des céréales, comme dans le cas du couscous ou du minestrone) et glucides complexes énergétiques. Ils sont de bonnes sources de magnésium, utile à la synthèse musculaire.

La bonne dose : L’Anses recommande d’en consommer plusieurs fois par semaine, de façon à pouvoir réduire la viande tout en préservant un bon apport de protéines3. Pour bien les digérer, limitez leur durée de conservation à un an, laissez-les tremper durant 12 heures avant de les cuisiner (sauf les lentilles), faites-les cuire suffisamment longtemps (de 20 min à 2 heures selon le cas), ajoutez une pincée de bicarbonate de soude, de la sarriette ou de la sauge dans l’eau de cuisson.

Les dérivés du soja

Jus, desserts, tofu ("fromage" de soja), tempeh (pâte de soja fermentée), fournissent des protéines, dont la qualité est presque équivalente à celle des viandes et des poissons. Ces aliments comptent parmi les alternatives à la viande en cas de régime végétarien. Ils sont aussi riches en magnésium, essentiel à la synthèse des protéines musculaires.

La bonne dose : Il est raisonnable de se limiter à un aliment à base de soja par jour, compte-tenu de l’apport en phytoestrogènes (des composés végétaux qui ont dans l’organisme des effets similaires aux œstrogènes féminins), surtout pour les femmes à risque de cancer du sein8. Ces aliments sont contre-indiqués en cas d’ hypothyroïdie (parce que les phytoestrogènes interagissent avec le traitement). Optez pour du jus ou des desserts de soja enrichis en calcium (de préférence par du carbonate de calcium ou une algue appelée lithothamne), si vous en consommez régulièrement à la place du lait ou des yaourts classiques.

Le pain et les féculents

Leurs constituants principaux sont des glucides complexes (amidon), carburant privilégié de l’organisme. Ces aliments sont à privilégier par rapport aux produits sucrés riches en glucides simples ("sucres"), pour prendre du poids sans courir le risque de stocker trop de graisses, d’augmenter les triglycérides sanguins (des graisses dont l’excès est un facteur de risque cardiovasculaire), voire de favoriser le développement d’un diabète. Ils apportent de surcroît l’énergie essentielle à la synthèse des protéines musculaires.

La bonne dose : Ces aliments sont recommandés à chaque repas, petit-déjeuner et collations compris. La portion dépend du besoin énergétique de chacun. A titre indicatif, vous pouvez compter 80 à 120 g de pain (l’équivalent d’un tiers à une demi-baguette) au petit-déjeuner, 200 à 300 g de féculents (poids cuits) pour un repas principal. L’Anses conseille de privilégier les produits complets ou semi-complets (pain complet, de seigle, aux céréales, riz brun…), plus riches en fibres, en minéraux et en vitamines du groupe B3.

Les fruits et légumes

Ces aliments faiblement énergétiques ne font pas grossir directement, mais ils comptent parmi les meilleures sources de potassium, un minéral dont l’apport doit être majoré si vous augmentez votre apport en protéines. Ils fournissent de nombreux nutriments essentiels à la santé, tels que des fibres et des vitamines anti-oxydantes ( C, E, bêta-carotène ou pro-vitamine A). Ces dernières permettent notamment de neutraliser l’excès de stress oxydatif occasionné par le travail musculaire

La bonne dose : Minimum cinq portions par jour, deux fruits et trois légumes ou inversement. Variez le plus possible, mais privilégiez les produits de saison, généralement plus riches en micronutriments (comparés à des produits importés de loin cueillis trop verts), plus savoureux et moins coûteux.

Les fruits à coque et les graines


Amandes, noisettes, pistaches, graines de courge, de lin, de tournesol…, contiennent 20 à 30 % de protéines, un apport non négligeable pour les personnes végétariennes, qui limitent les sources de protéines d’origine animale. Ces oléagineux riches en graisses insaturées (protectrices du système cardio-vasculaire) permettent d’apporter beaucoup d’énergie sous un petit volume. Ils sont concentrés en potassium et en magnésium, des minéraux favorisant l’activité de l’insuline (hormone anabolisante) et la synthèse des protéines musculaires.

La bonne dose : Une à deux poignées de fruits à coque ou cuillères à soupe de graines (20 à 40 g) par jour, à utiliser en collation ou à additionner aux salades, potages, céréales de petit-déjeuner, laitages…

L’eau

Le besoin en eau est proportionnel à l’apport énergétique, de 1 ml par kcal (2,5 litre pour 2 500 kcal). De plus, la prise de masse musculaire, via la synthèse protéique, est conditionnée à un apport en eau suffisant.

La bonne dose : Une alimentation équilibrée, comportant notamment des fruits et légumes, des laitages, de la viande ou du poisson, apporte environ 1 litre d’eau par jour. Il reste à boire 1,5 à 2 litres, principalement sous forme d’eau. Ne dépassez pas 3 tasses de thé ou de café, voire 1 à 2 verres de vin (sauf contre-indication médicale) par jour. Au cours d’un exercice physique, prévoyez en plus, selon l’intensité et la température, ½ à 1 litre d’eau plate.

Les compléments alimentaires oraux

Ces produits, classés parmi les "aliments diététiques destinés à des fins médicales spéciales", peuvent être prescrits par un médecin et remboursés par l’Assurance Maladie en cas de dénutrition11-12. Ils sont réservés aux personnes qui ne parviennent pas à avoir des apports nutritionnels suffisants à partir des aliments courants. Concentrés en protéines et/ou en énergie, enrichis ou non en fibres, sans lactose ou sans gluten si nécessaire, ils se déclinent sous de multiples formes : liquides lactés en briquettes, crèmes dessert, yaourts, jus de fruits, potages…

La bonne dose : Un à deux par jour (soit 500 à 600 kcal), à consommer en collation dans la matinée et dans l’après-midi. Sauf dégoût pour l’alimentation classique, il n’y a pas d’intérêt à les substituer aux repas principaux.

LA BACTERIE ET LE VIRUS

Quelle est la différence entre un virus et une bactérie ?

Les virus et les bactéries peuvent tous les deux entraîner des maladies, mais elles sont différentes. Et surtout, elles ne se soigneront pas de la même façon !
Les bactéries et les virus sont tous les deux des microbes, c’est-à-dire des organismes microscopiques. Tous les deux peuvent provoquer des maladies, mais ils ne s’installeront pas dans l’organisme de la même façon et, surtout, ils ne pourront pas être traités avec les mêmes médicaments.


Qu’est-ce qu’un virus ?
Un virus est un agent infectieux de toute petite taille, plus petite qu'une bactérie, qui ne peut pas se reproduire seul. Il doit être « hébergé » dans un autre organisme, par exemple dans une cellule humaine. Il y prendra ce dont il a besoin pour se reproduire, et les virus ainsi créés vont s’installer dans d’autres cellules et se multiplier à leur tour. C’est pour cela qu’ils sont manipulés avec une grande précaution dans les laboratoires.

Les virus vont provoquer des maladies comme la grippe, l’angine virale, la méningite virale, la rougeole, la varicelle, la poliomyélite, le chikungunya, le Sida, la rage, etc

Qu’est-ce qu’une bactérie ?
A l’inverse des virus, les bactéries sont des organismes indépendants, qui peuvent se reproduire seuls. Toutes n’entraînent pas des maladies, certaines sont mêmes bonnes et essentielles pour l’être humain, comme celles qui constituent les différents microbiotes (intestinal, vaginal, cutanée et  oro-pharyngé). Ces bactéries sont des barrières de protection contre l’invasion d’agents pathogènes, de microbes et de virus et remplissent parfois des fonctions biologiques (au niveau du métabolisme, sur la synthèse des vitamines, la dégradation des aliments…). 

Néanmoins, elles peuvent aussi être à l’origine de pathologies comme la listériose, la salmonellose, l’angine bactérienne, la méningite bactérienne, la tuberculose, la cystite, l’otite, la lèpre, le choléra... Les bactéries étant très « efficaces », les maladies qu’elles provoquent sont souvent dangereuses, et nécessitent une bonne prise en charge.

Virus ou bactérie : quels médicaments ?
Pour les virus, inutile de prendre des antibiotiques, cela ne servirait à rien. Il faut prendre des antiviraux, et parfois des combinaisons de ces médicaments. Le moyen le plus efficace de lutter contre la prolifération des virus et des maladies qu’ils entraînent est la vaccination, bien que des vaccins n’existent pas pour toutes les pathologies.

A l’inverse, une maladie causée par une bactérie pourra se soigner avec des antibiotiques. Ces médicaments vont en effet empêcher la multiplication des bactéries.

La réalité du virus Corona

CORONAVIRUSFACT
COVID-19

 DANS LA Biologie moléculaire Coronavirus connus
Leur génome est constitué d’un ARN linéaire simple brin, non segmenté, de polarité positive (qui peut donc être directement traduit en protéine), d’environ 30 kb (le plus grand des virus à ARN) [4] et qui code pour 7 à 10 protéines. Certaines de ces protéines sont bien caractérisées comme la réplicase et les protéines structurales N (nucléocapside), S (spike), E (enveloppe, aussi appelée sM) et M et M’ (membrane), ainsi que la protéine de surface HE (haemagglutinin esterase) qui n’est présente que chez certains coronavirus. La protéine N est une nucléoprotéine qui s’associe à l’ARN pour former la nucléocapside. La protéine S, comme la protéine E, est une protéine de l’enveloppe. Glycoprotéine de grande taille (de 1 100 à 1 450 acides aminés), elle forme des extensions (spicules) à la surface de la particule virale et est responsable de l’attachement à la cellule hôte et de la fusion membranaire lors de l’infection, ainsi que de l’induction d’anticorps neutralisants. La protéine M est la protéine majoritaire de la capside, mais elle est également insérée dans l’enveloppe où elle interagit avec la protéine S, et présente au niveau de la nucléocapside où elle interagit avec la protéine N. La protéine M’ serait une protéine M modifiée. Le gène de la réplicase code pour une protéine présomptive de 740 à 800 kDa qui présente des homologies de séquence avec diverses protéines (protéases, ARN polymérase dépendante de l’ARN, facteur de croissance et protéine à doigt de zinc) qui sont produites par coupure protéolytique du produit de traduction primaire.

SARS-CoV
Deux équipes, l’une américaine [2] et l’autre canadienne [3], ont réalisé le séquençage complet du génome des coronavirus isolés à partir des prélèvements réalisés sur des patients atteints de SRAS. Les deux séquences ne varient que par une dizaine de bases sur 29 000. La séquence confirme l’appartenance du virus au groupe des coronavirus, mais diffère de celle des deux coronavirus humains connus. On y retrouve les gènes codant pour les protéines de structure, pour la réplicase et une dizaine de cadres de lecture codant pour des protéines qui ne présentent aucune homologie de séquences avec des protéines déjà caractérisées. Le gène de la protéine de surface HE est absent du génome du SARS-CoV. La comparaison de séquence avec les réplicases et les protéines N, M, S et E des coronavirus déjà connus produit des pourcentages d’identité qui varient de 20 à 50 % et place le SARS-CoV dans un nouveau groupe qui ne semble pas avoir évolué à partir d’un coronavirus déjà connu
Structure des coronavirus. 
A. Représentation schématique d’une particule virale. L’enveloppe est formée des protéines S (spike), M et M’ (membranaires) et E (enveloppe). La nucléocapside (NC), formée par l’ARN génomique associé à la protéine N, est contenue dans la capside, elle-même entourée de l’enveloppe. B. Structure schématique de l’ARN génomique et des ARN subgénomiques d’un coronavirus prototype. L’ARN génomique (brin +) code pour les protéines d’enveloppe et de nucléocapside ainsi que pour la réplicase, transcrite à partir de l’ORF (open reading frame) 1a puis de l’ORF 1b par changement de phase de lecture. La polyprotéine produite par l’ORF 1a/1b est ensuite protéolysée en diverses protéines qui forment le complexe réplicatif. Les protéines structurales S, M, N et E sont traduites à partir de la première phase de lecture (en vert) des ARNm initiés en aval dans la séquence génomique du coronavirus. À l’extrémité 5’ des ARN, une séquence 5’-leader est présente, identique à l’extrémité 5’ de l’ARN génomique (boîte rouge). AAA = polyadénylation (d’après [5]).oints communs (noyau, réticulum endoplasmique, mitochondrie…). Néanmoins, elles se distinguent à deux niveaux. D’abord, les cellules végétales contiennent des chloroplastes, des organites, où se déroule la photosynthèse, et une vacuole, où sont emmagasinés les déchets, les toxines… Cette vacuole occupe parfois l’essentiel du volume cellulaire.
Aspect d’un coronavirus en microscopie électronique. 
Le nom coronavirus provient de l’aspect en couronne des spicules formées par la protéine S à la surface de l’enveloppe virale (photo, Pierre Lebon).


L'ADN (Sa constitution? Sa structure? Comment se réplique-t-il?)

ADN (acide désoxyribonucléique)
L'ADN est une molécule présente dans les cellules de tous les êtres vivants.
Elle contient le matériel génétique qui se transmet de génération en génération.
Sa constitution?
 Sa structure?
 Comment se réplique-t-il?

Constitution de l'ADN : les nucléotides
L'ADN est une grande molécule formée d'un grand nombre de nucléotides.

Le nucléotide de l'ADN est constitué de trois éléments principaux :

 un groupe phosphate,
 un sucre à 5 carbones (pentose) : le désoxyribose
 une base azotée qui peut être soit
  - la cytosine (C)
- la thymine (T)
- l'adénine (A)
- la guanine (G)
Il existe donc 4 types de nucléotides qui se lient l'un à la suite de l'autre et forme un polynucléotide.

L'ADN est un polynucléotide.


Structure de l'ADN : double hélice
L'ADN est constituée de deux brins : le squelette (en gris) pentose-phosphate forment les bordures extérieures de l'hélice. A l'intérieur se trouvent les bases azotées qui sont liées de manière complémentaires deux à deux, c'est à dire que :
  - l'adénine ne peut se lier qu'à la thymine
- la cytosine ne peut se lier qu'à la guanine

Propriété fondamentale de l'ADN: sa réplication  
 
L'ADN est capable de se répliquer, c'est à dire de se recopier fidèlement.
l'ADN se scinde en deux brins, chaque brin séparé servant de modèle pour fabriquer un brin complémentaire. Résultat : deux nouvelles molécules d’ADN, chacune avec un ancien et un nouveau brin.

Dénaturation de l' ADN:

La double hélice est dénaturée in vitro en 2 brins séparés (fusion) par la chaleur, les ph extrêmes, et autres méthodes (urée, ...). Le "point de fusion" peut être calculé; il est caractéristique de la proportion A/T versus G/C de l' échantillon étudié, cela est du au fait qu' il y a seulement 2 liaisons hydrogène pour A/T, et 3 pour G/C, une liaison plus stable. Lors de la dénaturation, les propriétés physiques de l' ADN changent; ex: l' effet hyperchromique: l' absorption de la lumière à 260 nm est plus forte avec de l' ADN dénaturé qu' avec de l' ADN double brin. L' absorption de la lumière varie aussi selon la proportion A/T vs G/C: Elle est plus forte dans les spécimens riches en A/T que dans ceux riches en G/C.
La dénaturation de l' ADN est un phénomène à connaître car:
1- cela permet de mesurer le rapport A/T vs G/C;
2- il est à la base des techniques d' hybridation avec des sondes marquées (hybridation in situ, blots)



BIOLOGIE ANIMALE cour

Biologie Animale Cour


INTRODUCTION A LA DIVERSITÉ DU VIVANT ANIMAL

Introduction

Approche générale du cours : « voir l’universel sous le particulier » ; montrer que quelques lois simples « modèlent » en permanence les organismes et « filtrent » puis « sélectionnent » les solutions qui seront retenues au cours de l'évolution  ; vision transversale des structures organisées via des comparaisons avec l’architecture, la biomécanique, etc. ; insister plus sur les concepts que sur la multitude des « détails », qui seront vus en Licence 2ème année  ; privilégier la réflexion et la compréhension plutôt que la mémoire ; entraîner l’étudiant à une vision « dynamique » du monde vivant.

THÈME 1 : DES ARBORESCENCES POUR FILTRER L'EAU

1.1 – Spongiaires

Architecture modulaire et fractalité ; arborescence de flux et filtration des microparticules  ; squelette extra-cellulaire (spiculogénèse) ; diversité des formes : éponges encoutantes, massives, arborescentes, tubulaires, etc. ; sécurité passive assurée par des structures vulnérantes (entrelacs de spicules acérés) et/ou la toxicité ; grand rapport surface/volume ;

1.2 – Cnidaires


Arborescences de support et de colonisation pour filtrer des macroparticules (plancton) ; échanges directs trans-membranaires assurés par un grand rapport surface/volume  ; symétries radiaire et axiale ; squelette hydrostatique ; sécurité passive assurée par la transparence, la toxicité ou la biosynthèse de structures minérales de protection et de support (coraux, gorgones) ;



THÈME 2 : DE LA VIE FIXÉE A LA VIE MOBILE

2.1 – Cténaires et Platyhelminthes (vers plats)


Transition « symétrie radiaire -> symétrie bilatérale » ; transition « diploblastiques -> triploblastiques » ; apparition des premiers systèmes excrêteurs pour l’épuration des toxines accumulées dans les lacunes du mésoderme ; importance du mésoderme pour les mouvements de reptation et la mise en œuvre des muscles transversaux ;

2.2 - Némathelminthes (vers ronds)


Apparition de la cuticule ; organisation des masses musculaires ; rôle(s) du pseudo-coelome ; réduction du rapport surface/volume ; limites physiologiques de la cuticule ;



THÈME 3 : MÉTAMÉRISATION ET SECTORISATION

3.1 - Annélides (vers annelés)


Propriétés bio-mécaniques de la cuticule et des apodèmes primitifs ; transition de la diffusion directe à la  « diffusion + convection » ; apparition de véritables systèmes circulatoires clos ; apparition des organes de diffusion (branchies) ± sectorisés ; généralisation des reins primitifs pour épurer les cavités coelomiques ; métamérisation + squelette hydrostatique + cuticule = support efficace pour les muscles (notion de « vertèbres hydrauliques ») ; mésoderme enveloppant et structure « tube dans un tube » => limites pour la mobilité ;

3.2 – Arthropodes


Généralisation des apodèmes et apparition de l’exosquelette articulé ; membres articulés ; transition « métamérisation -> sectorisation » ; isolement des masses inertes vs. masses neuromusculaires => mobilité accrue ;



THÈME 4 : L'ULTRA-MOBILITÉ : SQUELETTE EXTERNE OU INTERNE ?

4.1 – Le modèle Arthropodes


Exosquelette articulé : avantages et contraintes ; biomécanique des Arthropodes ;

4.3 – Le modèle Vertébrés


Squelette interne articulé (vertèbres) et mobilité ; séparation dorso-ventrale des masses inertes par rapport aux masses neuromusculaires => mobilité accrue ;

4.3– Le cas des Mollusques Céphalopodes


Squelette interne et mobilité ; isolement spatial des masses inertes par rapport aux masses neuromusculaires => mobilité accrue ; développement concomitant des organes sensoriels ; yeux camérulaires ;  grande taille des animaux à squelette interne ; squelette hydrostatique musculaire et sanguin (tentacules) ;



THÈME 5 : PROTECTION PASSIVE, LE RETOUR A LA SYMETRIE RADIAIRE

5.1 – Mollusques peu mobiles ou fixés


Vie peu mobile ou fixée ; exosquelette massif faiblement articulé (coquilles, valves, plaques, etc.) assurant une bonne sécurité « passive » ; transition « symétrie bilatérale -> symétrie radiaire » en relation avec la diminution de mobilité ; spiralisation ; organes sensoriels de la mobilité latents mais non exprimés (vue, ouie, etc.) ; réapparition de la diffusion trans-membranaire directe via de grandes surface d'échanges directement au contact avec le milieu ambiant (branchies filtreuses) ;

5.2– Echinodermes


Symétrie radiaire des adultes en rapport avec la faible mobilité (et/ou vie fixée) ; convergence adaptative avec les Cnidaires ; importance des échanges trans-membranaires directs pour la respiration et l’excrétion ; sécurité « passive » assurée par l’exosquelette dermique constitué de plaques (Crinoïdes),  + des épines (Echinides, Astérides) ou par la toxicité (Holothuries) ;

5.3– Urochordés


Symétrie axiale des adultes en rapport avec la vie fixée ; sécurité passive assurée par l’épaisse tunique cellulosique et/ou la toxicité ; convergence adaptative avec les Spongiaires ;



THÈME 6 : DÉVELOPPEMENT EMBRYONNAIRE (introduction)

Origine des grandes divisions du rêgne animal en fonction du dévelopement embryonnaire ; blastula et gastrula ; diploblastiques vs. triploblastiques ; protostomiens vs. deutérostomiens ; acoelomates, pseudocoelomates, coelomates ;
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CHIMIE ORGANIQUE cour

chimie organique
 Introduction à la chimie organique
Différents atomes de carbone constituent le squelette des molécules organiques et sur ces atomes de carbones sont fixés d'autres atomes comme l'hydrogène (H), l'azote (N), l'oxygène (O), mais aussi les halogènes (X = F, Cl, Br, I), le soufre (S), le phosphore (P), le silicium (Si), mais aussi des métaux (Mg, Cu, Zn, Hg...).


Il existe Différents atomes de carbone constituent le squelette des molécules organiques et sur ces atomes de carbones sont fixés d'autres atomes comme l'hydrogène (H), l'azote (N), l'oxygène (O), mais aussi les halogènes (X = F, Cl, Br, I), le soufre (S), le phosphore (P), le silicium (Si), mais aussi des métaux (Mg, Cu, Zn, Hg...).
Il existe différentes façons d'introduire à la chimie organique. La première consiste à partir de la structure des molécules et d'en déduire leurs propriétés. La seconde, plus chimique, consiste à étudier certaines réactions, et moyennant quelques connaissances, comprendre les bases de la chimie organique. Nous privilégirons la première qui permet en peu de temps de maîtriser de bonnes bases de chimie organique. Elle implique la connaissance de la nature de la liaison chimique.

La chimie des composés du carbone
Le carbone est tétravalent, c'est-à-dire susceptible de créer quatre liaisons. Ces quatre liaisons peuvent être orientés de façons différentes.
La tétravalence du carbone implique que celui-ci peut la base même de structures moléculaires : on parle de squelette carboné de la molécule.

La représentation des molécules

Il existe de nombreux modes de représentations des molécules. Selon le phénomène que l'on veut montrer ou illustrer, on utilisera des formules semi-développées, des représentation spatiales. Toutes ces représentations répondent à des règles précises.

Dans l'animation, nous avons représenté la molécule du cholestérol. Les trois représentations illustrent les différents modes de représentation de cette molécule naturelle.

La notion de molécule en trois dimensions ouvre sur un domaine appelée stéréochimie.

La complexité structurale des molécules implique l'existence d'une nomenclature pour les désigner.

La chimie organique et les mécanismes réactionnels

Les théories de la chimie organique permettent non seulement de mieux connaître les familles de molécules mais aussi les phénomènes qui se produisent à l'échelle moléculaire. Des études de cinétique complétées par d'autres méthodes (comme les techniques chromatographiques et spectroscopiques) permettent de déduire le déroulement de certaines réactions, dans des cas simples.



Prenons l'exemple de la substitution nucléophile bimoléculaire. Ici, on vois un ion hydroxyde (HO-) attaquer une molécule de chlorométhane. Lors de cette attaque, l'approche du nucléophile (HO-) va induire progressivement l'éloignement de l'atome de chlore sous forme de chlorure (Cl-). On dit aussi que cette réaction se fait avec inversion de configuration, puisque la molécule support, le méthane, est retournée tel un parapluie. Exemple d'une réaction d'estérification.
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BIOLOGIE VÉGÉTALE cour

COURS DE BIOLOGIE VÉGÉTALE

BIOLOGIE VEGETALE S2
On a tous savoir qu’il existe deux grandes règnes dans la biologie, l’une animale et l’autre végétale.
alors d’abord  je vais essayer d’expliquer la biologie végétale.
La biologie végétales
 est la partie de la biologie qui s’intéresse aux organismes végétaux  soit au niveau morphologique, soit au niveau fonctionnel soit au niveau écologique au aussi au niveau cytologique quelques soit leurs types.

Il faut signaler que la cellule végétale et la base de toutes les organismes végétaux et il est déférente de la cellule animale par leur paroi et quelques constituants ainsi leur fonctionnement.

pour télécharger l’ensemble des cours de Biologie Végétale de la Faculté des Sciences de Rabat , cliquez sur le lien suivant 
Et pour télécharger l’ensemble des cours de Biologie Végétale de L'Université les Frères Mentouri Constantine 1 Faculté des Sciences de la Nature et de la Vie 
cliquez sur le lien suivant                               BIOLOGIE VEGETALE

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